•  

    La certitude d'être sauvé

    Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle. (Jean 3. 16)

    Si, de ta bouche, tu reconnais Jésus comme Seigneur, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité d'entre les morts, tu seras sauvé. (Romains 10. 9)

    La reine Victoria avait assisté à un service religieux dans la cathédrale Saint Paul à Londres. Après la prédication qu'elle avait suivie avec beaucoup d'attention, elle demanda à son aumônier si l'on pouvait être sûr d'être sauvé. L'homme lui répondit qu'il ne pouvait en aucune manière lui donner une telle certitude. Cet entretien fut publié dans «Les Nouvelles de la Cour» et John Townsend, un évangéliste, en eut connaissance. Il envoya à la reine la lettre suivante:

    «A sa majesté, notre bien-aimée Reine Victoria, Persuadé que nous pouvons avoir la certitude de la vie éternelle, d'une main tremblante mais avec un cœur rempli d'amour, j'aimerais prier Sa Majesté de lire les portions suivantes des Ecritures : Jean 3. 16 et Romains 10. 9. Ces passages montrent qu'il y a une pleine certitude du salut pour ceux qui croient au Seigneur Jésus et en son œuvre.»   John Townsend

     Quinze jours plus tard, il reçut la réponse suivante :

    «A John Townsend, J'ai bien reçu votre lettre et j'ai lu soigneusement les passages indiqués. Je crois à l'œuvre de Christ accomplie pour moi et j'ai confiance que, par la grâce de Dieu, je vous rencontrerai un jour dans la Maison du Père, là où le Seigneur est allé nous préparer une place.»   Victoria Guelph



     Un évangéliste, visitant à Nottingham une chrétienne très âgée, lui demanda comment elle s'était convertie. 

    En lisant cela, répondit-elle, lui tendant un morceau de journal jauni et tout froissé qu'elle tira de sa Bible. C'était un fragment d'un journal américain contenant un extrait de sermon de Spurgeon. L'évangéliste étonné lui posa la question : 

    -Mais où avez-vous eu ce journal ? 
     -C'était l'emballage d'un paquet que l'on m'a envoyé d'Australie, répondit-elle.

     Quel chemin parcouru par cette feuille, d'Amérique en Australie, puis d'Australie en Angleterre ! Et elle accomplit le plan de Dieu : atteindre l'âme qui était à sauver.

     

    Auteur inconnu



  • A Prendre ou à Laisser

    C'est parfois le dernier mot, lors d'une transaction entre un vendeur et un acheteur potentiel. Le vendeur ne baissera plus son prix et l'acheteur ne donne­ra rien de plus. L'un ou l'autre devra accepter l'offre, sinon ils se sépare­ront sur un échec. Dieu a tout fait pour que votre vie ne soit pas un échec. Il n'a pas discuté le prix; il a agi, et il a donné son Fils unique à la croix pour pardonner vos péchés. C'est ce péché qui vous conduit vers l'échec.

    Dieu vous aime tellement qu'il ne discute pas le prix avec vous!
    Le prix de votre salut, de votre guéri­son, l'espérance de la vie éternelle, il vous l'offre gratuitement. Jésus, son Fils, a payé de son sang pour que vous soyez sauvé. Jésus est vivant pour toujours; il est là, tout près de vous; il vous voit, il vous aime et vous appelle.



    Prenez Jésus
    comme celui qui est vivant:   : 

    "Christ est mort; bien plus, il est res­suscité"
    (Romains 8/34).


    Prenez Jésus
    comme votre Sauveur:

    <blink>" le salaire du péché c'est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur"</blink>
    (Romains 6/23).
     
    Jésus est venu pour vous sauver de vos péchés.

     
    Prenez Jésus
    comme votre Seigneur:

     "Car l'amour de Dieu consiste à gar­der ses commandements (..) "
     (1 Jean 5/3).
    Jésus est un bon Maître, vous pou­vez lui obéir et il vous sera facile de vous soumettre à lui par amour. C'est lui qui vous a aimé le premier. La Bible dit que ses commande­ments ne sont pas pénibles.

    Prenez Jésus comme espérance:

    " Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s'il meurt; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais"
     (Jean 11/25-26).

    Et vous, croyez-vous cela? Ayez l'espérance de la vie éternelle, sa­chez que dans vos besoins, vos dou­leurs, vos problèmes et vos mala­dies, il y a une espérance en Dieu.
    Rien n'est impossible à Dieu, rien ne peut empêcher Jésus d'agir:


     "Quand un malheureux crie, l'Eternel entend, et il le délivre de toutes ses détresses"
    (Psaume 34/7).

    Il y a une espérance pour votre vie, car Dieu
     "connaît les projets qu'il a formés sur vous, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et une espérance" (c
     ( Jérémie 29/11)érémie 29/11).
    L'important n'est pas de connaître l'avenir, mais de savoir que Dieu en a un pour vous!
    Prenez Jésus comme c.onsolateur :
    Peut-être pleurez-vous en secret? Personne ne le sait autour de vous, sauf Jésus. Il connaît, il entend vos cris, il voit vos larmes. Rappelez­vous ceci
    :

     "II est le Dieu de toute consolation"
     (cf. 2 Corinthiens 1/3).

    Laissez-le donc changer votre deuil en allégresse! Alléluia! Dieu a tout fait pour s'entendre avec vous, afin que votre vie ne soit pas un échec.

    Prenez Jésus pour
    votre Maître et Seigneur!
    Eric Lefebvre

  •      Peut-on rire de tout avec tout le monde ?



    Certains humoristes répondent que oui ; mais je ne le crois vraiment pas. On voit bien qu’en France, l’opinion publique rechigne devant certains sujets : la mort, la religion, la souffrance ou encore le racisme.

    La parodie est à la mode, l’imitation crève l’écran ; les Guignols de l’info ridiculisent nos hommes politique à longueur d’émission en prétendant n’avoir aucune influence sur le vote des gens, ce qui est faux, évidemment !
    Par ailleurs, l’imitation, la parodie ne sont que l’une des multiples résultantes du succès. Ainsi parodier ou imiter des inconnus n’a jamais marché, ni fait rire personne. Ce qui est drôle c’est l’imitation de gens connus.

    Il y a quelques jours, je suis tombé sur un site (que je me refuse de citer ici) parodiant le Top Chrétien. Je pensais pouvoir trouver matière à m’amuser un peu, mais finalement non ! Il ne s’agissait que d’absurdités, de grossièretés, de vulgarités organisées et de démolition pure et simple des valeurs chrétiennes défendues ici comme ailleurs.

    Nous sommes sans doute dans l’ère de la parodie, à l’apogée de ce genre de spectacle. On a commencé avec des parodie de films d’espionnage où tous les poncifs du genre nous étaient resservis, mais pour se moquer ; on en est aujourd’hui à parodier l’Évangile de Jésus-Christ, mais à des fins qui n’ont plus rien de drôle.

    La parodie a ses limites, l’humour aussi ; les limites de ce genre d’expression sont le respect de l’autre, de sa foi, de sa croyance, de ses valeurs.

    Les commentateurs sérieux de la Bible disent tous, ou presque, que l’Évangile est un livre d’où l’humour n’est pas absent ; on sait que le peuple juif a toujours manifesté son légendaire humour, même aux périodes les plus sombres de son histoire. L’humour est sain, il permet d’équilibrer la vie, mais jusqu’à quel point peut-on parler d’humour dans certains cas ? La limite, c’est le respect individuel (par exemple : refuser de se moquer d’un handicapé physique est un honneur pour moi, ou bien ne pas se permettre de railler un pauvre ; et pourtant certains ne s’en privent pas !

    Non il n’est pas question de rire de tout avec tout le monde, pas même de participer aux moqueries de quelques-uns. Je pourrais vous citer le nom de dix comiques de service qui remplissent les salles à Paris et ailleurs, et qui effectivement sont très drôles, mais avec qui je refuse de rire pour éviter de me souiller, ou pour ne plus avoir à le faire (car qui ne s’est jamais fait piéger à ce niveau ?)

    Certaines émissions télévisées, certains films ne sont que l’expression d’un manque de respect absolu des valeurs défendues par l’Évangile. Observons et sélectionnons nos programmes !

    Pour terminer je cite l’apôtre Paul : « Tout est permis, mais tout n’est pas utile » (1 Corinthiens 6.12).
     



















    Samuel Foucart



      Note de l'auteur du site

    la bible affirme que dans les derniers temps:

    il viendra des moqueurs avec leurs railleries ....

    dans les derniers temps les gens seront égoïtes, amis de l'argent, fanfarons ennemis des gens de biens, aimant le plaisir plus que Dieu


  • Vivre Sa Vie


    [

    En allant voir un spectacle. on s'identifie

    à des vies
    peu ordinaires. on vit des aventures palpitantes mais..

    par procuration.


    Une expression fréquem­ment employée de nos jours est: "vivre sa vie".

    Derrière cet alléchant pléonas­me (peut-on vivre autre chose que sa vie ?), se dissimule un désir d'indépendance, de rejet des contraintes de toutes sor­tes et de recherche de satisfac­tion personnelle. Les émis­sions de téléréalités, qui sont aux antipodes de la réalité quo­tidienne, nous abreuvent de rêves. On gagne des millions, on devient star en quelques se­maines, on vit des aventures palpitantes, on vit sa vie, quoi.. mais par procuration!

    Par contraste avec cet égo­centrisme exacerbé, certains acceptent de participer à l'émission "Vis ma vie", dans laquelle il s'agit d'expérimenter pendant quelque temps ce que d'autres vivent, mais à l'opposé de son propre chemi­nement. Gageons que cela soit peut-être plus enrichissant que le nombrilisme en vogue dans notre société!

    Mais j'aimerais évoquer une autre façon de "vivre sa vie", que j'ai le privilège de pra­tiquer depuis des décennies. Dans cette manière d'envisa­ger les choses, l'adjectif pos­sessif "sa" ne fait pas référence à soi-même, comme dans le paragraphe précédent. On vit la vie de quelqu'un qui est ve­nu habiter le cœur, qui journel­lement conseille et soutient, qui insuffle la force d'accom­plir le devoir difficile de sup­porter "épreuve et qui décuple les joies de l'existence. Un homme, tout particulièrement, a vécu cette vie-là. Ce fut l'apôtre Paul. Il avait fait une rencontre bouleversante sur le chemin de Damas, et plus tard il écrivit:

     <blink>"Ce n'est plus moi qui vis, c'est Christ qui vit en moi".</blink>

     Christ, vivant en lui, avait transformé son existen­ce; il avait appris à "vivre sa vie" !

    Ami, vivre sa vie, cela vaut la peine!


    Jean-Claude Guillaume



  • Signes des Temps


    Malgré les mauvaises nouvelles de France et du monde entier , nous possédons un précieux message!
    Le monde se disloque-t-il de plus en plus ?

    "Séismes , ouragans , éruptions volcaniques, inondations"

    une profusion de catastrophes un peu partout dans le monde !
    Mais si l'on en croit les experts , la situation va aller en s'aggravant.
    Le concept :
    " signes des temps de la fin "ne tourne pas nos pensées vers la ruine du monde , mais plutôt sur le fait qu'une ère s'achève. Celle-ci se terminera par le retour en gloire du Seigneur Jésus-Christ qui ouvrira le millénium, un règne de paix de mille ans.


    "Apocalypse ch19 v6 à 11 et ch 20 v6"

    Notre ère est celle de la grâce ; elle dure depuis pratiquement 2000 ans.
    Elle est aussi appelée le temps de l'Eglise. Le trait caractéristique de ce temps du salut est la prédication de l'Evangile de Jésus-Christ partout dans le monde . <blink>Sa mort et sa résurrection nous appellent à croire en lui pour être sauvé par grâce</blink>. Sa bonté nous pousse à la repentance parce que nous sommes tous pécheurs et privés de la gloire de Dieu. Mais les Saintes Ecritures nous disent que si le salaire du péché c'est la mort , le Don gratuit de Dieu c'est la vie éternelle en Jésus-Christ le Seigneur.

    Ainsi Jésus nous appelle avec tendresse et nous dit :

    "Venez à moi , vous qui êtes fatigués et chargés et je vous donnerai du repos"
    Son amour vous consolera , sa patience a su vous garder jusqu'à ce jour, sa compassion continuera à se manifester envers vous. Dès ce jour n'hésitez plus ! Venez à lui et acceptez-le comme Sauveur et Seigneur , et il essuiera toutes larmes de vos yeux.
    Que Dieu vous accorde sa bénédiction !