• Livre des Psaumes    
         

    Chapitre 1   
        
    1              Heureux l'homme qui ne marche pas selon le conseil des méchants, Qui ne s'arrête pas sur la voie des pécheurs, Et qui ne s'assied pas en compagnie des moqueurs,        
    2              Mais qui trouve son plaisir dans la loi de l'Éternel, Et qui la médite jour et nuit !        
    3              Il est comme un arbre planté près d'un courant d'eau, Qui donne son fruit en sa saison, Et dont le feuillage ne se flétrit point : Tout ce qu'il fait lui réussit.        
    4              Il n'en est pas ainsi des méchants : Ils sont comme la paille que le vent dissipe.        
    5              C'est pourquoi les méchants ne résistent pas au jour du jugement, Ni les pécheurs dans l'assemblée des justes ;        
    6              Car l'Éternel connaît la voie des justes, Et la voie des pécheurs mène à la ruine.        


    Traduction actuelle : Louis Segond 1910

  • vendredi 9 Décembre 2005.
     
    Au commencement Dieu créa les cieux et la terre.
    Genèse 1. 1
    Dieu... nous a parlé dans le Fils (Jésus Christ), <nl ctx="b">... par qui aussi il a fait les mondes.</nl>
    Hébreux 1. 1-2
    Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle.
    Jean 3. 16

    Le Big Bang

    “D'où vient l'univers ? Comment s'est-il-formé ? Qu'y avait-il avant ? Pourquoi, de l'échelle cosmique à celle des particules élémentaires, y a-t-il un ordre plutôt que le désordre ?” L'homme s'est posé ces questions de tout temps et dans toutes les civilisations. La théorie scientifique appelée “théorie du Big Bang” dit, en résumé, que l'univers s'est formé à un instant donné à partir d'un “point singulier” de densité et pression infinies et de température très élevée. Depuis cet instant zéro, dit-on, l'univers est en expansion et se refroidit. A la question : “Qu'y avait-il avant ?”, la seule réponse que l'on donne est que cette question n'a pas de sens puisque le temps et l'espace ont commencé seulement à ce moment-là.
    Pourtant le chrétien, du plus humble au plus savant, trouve dans la Bible des réponses certaines à ces interrogations fondamentales : “Par la foi, nous comprenons que les mondes ont été formés par la parole de Dieu, de sorte que ce qui se voit n'a pas été fait à partir de choses qui paraissent” (Hébreux 11. 3).
    Mais le chrétien sait aussi que Dieu a créé la planète Terre et les hommes qui l'habitent pour y faire éclater son amour. Il désirait avoir autour de lui une famille constituée de tous ceux qui mettent en Jésus Christ leur confiance. Il leur prépare maintenant un avenir de bonheur, au-delà de l'univers visible actuel qui va disparaître, dans “de nouveaux cieux et une nouvelle terre” (2 Pierre 3. 13). Ne voudriez-vous pas partager ces certitudes ? Lisez la Bible.
    Jésus dit : « Je suis le Chemin, et la Vérité, et la Vie »
    (Ev. de Jean 14. 6)

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  • >BIBLES ET PUBLICATIONS CHRÉTIENNES

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    « Ta Parole est la Vérité »
    (Ev. de Jean 17. 17)
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    Tous ceux qui croient... sont justifiés gratuitement par sa grâce, par la rédemption qui est dans le Christ Jésus.
    Romains 3. 24

    Prouver notre valeur

    Beaucoup de nos contemporains reconnaissent facilement ne pas croire en Dieu. Ils affirment que pour eux ce n'est pas un problème et qu'ils n'en souffrent pas. Au contraire, ils sont plutôt fiers de vivre sans Dieu. C'est un signe, disent-ils, de liberté et de maturité. Mais presque tous éprouvent le besoin très fort de passer pour «quelqu'un de bien» auprès de ceux qui ont de l'importance pour eux. Au fond, chacun veut être reconnu comme quelqu'un d'honorable, à qui l'on ne peut rien reprocher. On veut se prouver et prouver aux autres sa propre valeur. Une telle démarche ne peut que conduire à une impasse, l'impasse de l'orgueil. Efforts dérisoires de vouloir être juste par ses propres efforts !
    Ecoutons plutôt l'enseignement de la Bible : «Justifiés gratuitement par sa grâce». Seule la justice que Dieu nous donne nous libère du besoin de prouver, à tout prix, notre valeur. Ce besoin fait souvent de nous des êtres tendus, parfois même agressifs. Combien nous avons besoin de recevoir ce message de l'amour gratuit de Dieu, et du don de sa justice ! Nous serons alors libérés de l'orgueil, plus libres aussi dans nos relations avec les autres, en qui nous ne verrons plus des ennemis ou des concurrents, mais des personnes aimées de Dieu. Et lorsque nous sommes tentés de nous élever, de mépriser ou d'envier ceux que nous côtoyons, pensons au Seigneur Jésus, «doux et humble de cœur» (Matthieu 11. 29).
    Jésus dit : « Je suis le Chemin, et la Vérité, et la Vie »
    (Ev. de Jean 14. 6)

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  •  
    Jésus s'écria d'une voix forte, disant : Eli, Eli, lama sabachthani ? c'est-à-dire : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?
    Matthieu 27. 46

    <titre nbcol03="2">Les trois heures de l'expiation</titre>

    <texte></texte>

    Ce passage évoque une scène d'une solennité inégalable. Elle est limitée dans le temps, trois heures au centre de l'éternité. Il se passe là ce qui ne s'était jamais vu : le juste, le seul juste, est abandonné par Dieu. Nous en connaissons la raison, mais nous ne pouvons pas mesurer l'intensité de la douleur rencontrée là : Dieu livre son Fils bien-aimé, et celui-ci se donne lui-même pour le salut des hommes. La raison est simple : pour sauver les hommes pécheurs et pouvoir les introduire un jour dans le ciel, il fallait expier leurs péchés. Pour cela, Dieu, selon sa justice et sa sainteté, exigeait un sacrifice expiatoire. Seul Christ, dans sa perfection, en prenant sur lui nos péchés, pouvait répondre à toutes les exigences divines. C'est pourquoi Dieu l'a donné, et Christ a accepté ce sacrifice de lui-même à la fois pour glorifier son Dieu et pour sauver les pécheurs.
    Pendant ces trois heures d'abandon où Jésus, pendu au bois de la croix, glorifiait son Dieu de la manière la plus excellente, le soleil se cacha et plongea la terre dans les ténèbres. Une telle solennité devait échapper aux regards des hommes.
    Voilà le prix payé pour notre salut. Pouvons-nous ajouter quoi que ce soit au sacrifice incomparable du Christ, et n'est-il pas assez grand pour mobiliser nos affections pour Lui ?

    En adorant déjà sur cette terre
    L'Agneau vainqueur, à jamais glorieux
    Nous te louons, notre Dieu, notre Père
    Pour ton don merveilleux.



  • Dieu est lumière et il n'y a en lui aucunes ténèbres.
    1 Jean 1. 5
    Dieu est amour. En ceci a été manifesté l'amour de Dieu pour nous : c'est que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui.
    1 Jean 4. 8, 9

    Une conversion franche, <nl ctx="03">une vie conséquente </nl>

    Après une longue et fatigante journée sur le champ de bataille de Waterloo, en juin 1824, je me retirai dans ma chambre. La pensée me vint : «Je vais réciter mes prières.» C'était une habitude d'enfance que j'avais depuis longtemps abandonnée. Je me mis à genoux près de mon lit ; mais... j'en avais oublié les paroles. Je levai les yeux en tentant de me les rappeler, lorsque tout d'un coup j'éprouvai dans mon âme une impression comme jamais je n'en avais eue auparavant. C'était comme si un Etre infini et tout-puissant, connaissant tout, plein du plus profond, du plus tendre intérêt pour moi, me donnait la conscience qu'il avait pitié de moi et qu'il m'aimait. Mon oeil ne voyait personne, mon oreille n'entendait personne, mais j'avais la certitude que Celui que je ne connaissais pas me rencontrait pour la première fois, et me donnait conscience que nous étions face à face…
    La tendresse, la plénitude exquise de son amour me remplissait peu à peu et ainsi m'attirait vers lui-même. En même temps, la lumière, d'avec laquelle l'amour était inséparable, me révélait combien j'avais été l'opposé de tout ce qui était lumière et amour.
    Je pleurai quelque temps à genoux sans dire une parole, et je me mis au lit. Le lendemain matin, ma première pensée fut : «Trouve une Bible». J'en trouvai une, et depuis, la Bible a été mon livre des livres.
    (Témoignage de G.V. Wigram, après 50 ans au service du Seigneur)