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    Venez et plaidons ensemble, dit l'Eternel : Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; s'ils sont rouges comme l'écarlate, ils seront comme la laine.
    Esaïe 1. 18

    Tourner la page

    Bien des personnes, amenées à juger un passé coupable, prennent l'énergique résolution de “tourner la page”. L'intention est sans doute bonne, mais ces personnes risquent d'avoir à faire la triste expérience qu'en elles ne réside aucune force pour persévérer (Romains 7. 18-25).
    Dire qu'on a tourné la page, c'est bien ; mais devant Dieu, les pages du passé ne sont pas supprimées. Ce n'est pas en prenant la résolution de faire mieux à l'avenir, que l'écolier fait disparaître les taches dans son cahier ; l'oeil exercé du maître les découvrira.
    Un commerçant qui se trouverait dans une situation difficile ne gagnerait rien en essayant d'omettre le report dans son livre de comptabilité : il va de soi que les chiffres nouveaux sur la page blanche ne paieront pas les dettes anciennes. Chaque page de notre vie débute, elle aussi, par un “report”. Il est donc inutile de commencer une page nouvelle – serait-elle sans tache – pour être sauvé, si le passé n'est pas réglé.
    La Parole de Dieu déclare : “Si quelqu'un n'est pas né de nouveau, il ne peut pas voir le royaume de Dieu” (Jean 3. 3-5). “Mais Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause de son grand amour dont il nous a aimés, alors même que nous étions morts dans nos fautes, nous a vivifiés ensemble avec le Christ (c'est par la grâce que vous êtes sauvés) ” (Ephésiens 2. 4-5). “Il nous a pardonné toutes nos fautes” (Colossiens 2. 13).
    Encore faut-il venir vers lui pour recevoir son pardon

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    Dieu dissipe les projets des hommes rusés, et leurs mains n'accomplissent pas leurs conseils. Il prend les sages dans leur ruse, et le conseil des astucieux est précipité.
    Job 5. 12, 13

    Le courage de témoigner

    Lors de ses cours, un professeur de philosophie passait souvent du temps à essayer de prouver que Dieu n'existait pas. Ses étudiants n'osaient pas contester de peur d'être ridiculisés. Pendant des années, il terminait son cours le dernier jour en disant : «S'il y a quelqu'un ici qui croit toujours en Jésus, qu'il se lève !» Personne n'osait le faire. Il ajoutait : «Celui qui croit en Dieu est stupide. Si Dieu existait, il pourrait empêcher cette craie que je tiens de se casser». Il laissait alors tomber la craie qui se brisait à terre.
    Voilà qu'une année, un étudiant chrétien s'était inscrit à son cours. Durant trois mois, il pria chaque matin pour avoir le courage de répondre au professeur. Le jour venu, il se leva. «Imbécile, s'écria le professeur. Tenez, si Dieu existait, il empêcherait ce bout de craie de se casser quand il touche terre». Et il lâcha la craie. Mais celle-ci glissa de ses doigts le long de son pantalon puis sur sa chaussure et alla simplement rouler loin, intacte. Le professeur resta un moment interdit à regarder fixement la craie. Puis il leva les yeux vers l'étudiant et sortit brusquement de la salle. Tous les étudiants écoutèrent alors leur camarade parler de sa foi en Dieu et dans le Seigneur Jésus.
    <mod ch=".995">L'existence, tout comme la non-existence de Dieu, ne peuvent pas se prouver par des raisonnements humains. Nous ne pouvons pas découvrir Dieu par l'effort de notre intelligence ou de nos pensées personnelles. Aujourd'hui la Parole de Dieu, la Bible, est le témoignage complet par lequel Jésus, le Sauveur du monde, nous révèle Dieu son Père. </mod>

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    Aujourd'hui, dans la cité de David, vous est né un sauveur, qui est le Christ, le Seigneur. En voici pour vous le signe : vous trouverez un petit enfant emmailloté et couché dans une crèche.
    Luc 2. 11, 12
    Comme les cieux sont élevés au-dessus de la terre, ainsi mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, et mes pensées au-dessus de vos pensées.
    Esaïe 55. 8

    «En voici pour vous le signe»

    Lorsque Dieu a voulu se révéler, il ne s'est pas manifesté par une démonstration éclatante de puissance et de gloire. Il a donné le signe le plus humble de sa présence : «un petit enfant couché dans une crèche». Ce signe si discret est resté inaperçu aux yeux de la plupart des grands de ce monde, mais pour ceux qui attendaient le Messie promis, il était l'accomplissement des promesses de Dieu. Ainsi, un vieillard, Siméon, a pris le petit enfant Jésus dans ses bras, et a pu s'écrier, dans un élan de reconnaissance et d'adoration : «Maintenant, Seigneur, tu laisses aller ton esclave en paix... car mes yeux ont vu ton salut» (Luc 2. 29, 30).
    Oui, les pensées de Dieu sont infiniment élevées au-dessus des nôtres. Personne n'aurait pu imaginer que Dieu se ferait homme, que le Roi des rois naîtrait dans une étable. Dieu renverse nos notions de grandeur. Le roi qui vient de naître à Bethléem fera son entrée dans Jérusalem, non pas assis dans un char, mais monté sur un ânon. Il n'est pas venu pour s'enrichir, mais pour nous enrichir. Jésus est venu, non pour dominer, mais pour servir, non pour assujettir, mais pour donner sa vie pour nous. Il s'est abaissé et est allé à la rencontre des pauvres, des malades, des pécheurs, pour leur révéler l'immense amour de Dieu, cet amour qui «surpasse toute connaissance» (Ephésiens 3. 19).
    Quel en est le signe suprême ? Jésus crucifié. Folie pour celui qui reste insensible à l'amour de Dieu ! Puissance de vie pour celui qui croit !



  • Je vous annonce un grand sujet de joie.
    Luc 2. 10
    Personne n'a jamais vu Dieu ; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, lui, l'a fait connaître.
    Jean 1. 18
    Le Père a envoyé le Fils pour être le Sauveur du monde.
    1 Jean 4. 14

    Le plus grand des cadeaux

    On l'attend, cette fête de Noël ! Une grande partie de notre planète s'y prépare longuement. Quelle est son origine ? sa signification ? Et pour vous, que représente-t-elle ?
    Une occasion de joyeuses rencontres familiales autour d'un arbre de Noël ? Un échange de cadeaux ? Des repas copieux ? Un séjour à la neige ? Un service religieux ? Mais pour d'autres, sans famille, sans amis, c'est la <mod style="FONT-WEIGHT: bold" ch03="5.5">période où l'angoisse de la solitude se fait la plus insoutenable. Et les plus démunis ? Auront-ils plus que le spectacle provocant des étalages qui regorgent de victuailles ? Malgré de beaux élans de solidarité, Noël n'est pas une fête pour tous !
    </mod>
    Et pourtant, à tous les humains, Dieu a offert le même merveilleux cadeau : Jésus, son Fils unique, né dans le monde pour mettre la connaissance de Dieu à notre portée et pour nous sauver.
    “<mod style="FONT-WEIGHT: bold" ch=".980">Cette parole est certaine et digne d'être pleinement reçue : le Christ Jésus est venu dans le monde pour sauver les pécheurs” (1 Timothée 1. 15)</mod>.
    „
    Le ciel a visité la terre :
    Emmanuel vient jusqu'à nous.
    <mod ch03="5.0">Dieu se fait homme, ô saint mystère </mod>!
    Que son peuple adore à genoux !
    „





  • Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils a la vie, celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie.
    1 Jean 5. 11-12

    «Pour moi, le plus important…»

    Nous sommes en février 1990, juste après le championnat de Norvège de ski de fond. Un skieur inconnu d'un petit village de la côte ouest du pays a gagné deux médailles d'or. Il est devenu le héros de cette compétition. Tous les journaux veulent en savoir plus au sujet de ce jeune homme qui a battu toutes les vedettes. Lors d'une interview, quelqu'un lui a demandé quelles étaient ses ambitions. Espérait-il gagner une médaille d'or aux prochains Jeux Olympiques ?
    «Pour moi, le plus important est que les autres soient sauvés», répond Kristen Skjeldal. Le lendemain, tous les journaux montrent la photo de ce skieur chrétien qui lit la Bible, et qui porte bien son nom (en norvégien, Kristen signifie chrétien).
    Ecoutons Kristen parler de sa foi : «Ce que j'ai appris lorsque j'étais enfant reste aujourd'hui encore la base de ma foi. Mais lorsque j'ai grandi, j'ai dû prendre ma propre décision. J'avais suivi mes parents, mais on ne peut pas vivre toute sa vie de la foi de ses aînés. Jésus prend soin de moi. Il ne m'a jamais abandonné. Il me donne tant. Sans lui ma vie serait vide.
    Bien sûr, on peut vivre sur cette terre sans croire au Christ. Beaucoup le font, mais en ce qui me concerne, je crois à la vie éternelle dans le ciel, et celle-ci ne peut être atteinte que par Jésus Christ. Personne ne la mérite, mais Dieu nous l'offre comme un don. A nous de le saisir…»