•  

     
     
     

    Des pas dans le sable

     

     
    Un nuit, je fis un rêve:

    je marchais sur la plage avec mon Seigneur.
    Sur le ciel noir des épisodes de ma vie furent projetés, comme sur un immense
    écran.

    Et sur le sable je voyais à chaque fois
    deux traces de pas :

    les miens, et ceux de mon Seigneur.


    Après la dernière scène de ma vie,
    je me retournai.

    Je fus surprise de voir par endroits
     
    les traces d'une seule personne.

    Je me rendis compte que je traversais alors les moments les plus difficiles
    et les plus tristes de ma vie.

    Inquiète je demandai au Seigneur :

    "Le jour où j'ai décidé de te suivre
    tu m'as dit que tu marcherais toujours
    avec moi.
     
    Mais je découvre maintenant
     
    qu'aux pires moments de ma vie
     
    il n'y a les empreintes que d'une seule personne,
     
    pourquoi m'as-tu abandonnée
     
    lorsque j'avais le plus besoin de toi ?"

    Il me répondit :

    "Mon enfant chérie, je t'aime

    et je ne t'abandonnerai jamais, jamais, jamais,


    surtout pas lorsque tu passes par l'épreuve.

    Là où une seule personne a marqué

    le sable de ses pas, c'était moi qui te portais."
    JESUS T'AIME TOI AUSSI
    QUI QUE TU SOIS
    VIENS A LUI.
    TEL QUE TU ES
    CONFIE TOI EN LUI
    EN SA
    PAROLE
    LA BIBLE.
    <blink> JE SUIS LE CHEMIN, LA VERITE ET LA VIE</blink><blink>
    NUL NE VIENT AU PERE QUE PAR MOI</blink>

     

    <script src="http://ad.coupeci.com/concours.asp?id=461012&logo=2"></script>

  •      

    La certitude d'être sauvé

    Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Filsunique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, maisqu'il ait la vie éternelle.(Jean 3. 16)

    Si, de ta bouche, tureconnais Jésus comme Seigneur, et situ crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité d'entre lesmorts, tu seras sauvé.(Romains 10. 9)

    La reine Victoria avait assisté à un servicereligieux dans la cathédrale Saint Paul àLondres. Après la prédication qu'elle avaitsuivie avec beaucoup d'attention, elle demanda à sonaumônier si l'on pouvait être sûrd'être sauvé. L'homme luirépondit qu'il ne pouvait en aucune manière luidonner une telle certitude.Cet entretien fut publié dans «Les Nouvelles de laCour» et John Townsend, un évangéliste,en eut connaissance. Il envoya à la reine la lettresuivante:

    «A sa majesté,notre bien-aimée ReineVictoria,Persuadé que nous pouvons avoir la certitude de la vieéternelle, d'une main tremblante mais avec un cœurrempli d'amour, j'aimerais prier Sa Majesté de lire lesportions suivantes des Ecritures : Jean 3. 16 et Romains 10. 9. Cespassages montrent qu'il y a une pleine certitude du salut pour ceux quicroient au Seigneur Jésus et en sonœuvre.» JohnTownsend

     Quinze jours plus tard, il reçut laréponsesuivante :

    «A John Townsend,J'ai bien reçu votre lettre et j'ai lu soigneusement lespassages indiqués. Je crois à l'œuvrede Christ accomplie pour moi et j'ai confiance que, par lagrâce de Dieu, je vous rencontrerai un jour dans la Maison duPère, là où le Seigneur estallé nous préparer une place.»Victoria Guelph



     Un évangéliste, visitantà Nottingham une chrétienne trèsâgée, lui demanda comment elle s'étaitconvertie. 

    En lisant cela,répondit-elle, lui tendant unmorceau dejournal jauni et tout froissé qu'elle tira de sa Bible.C'était un fragment d'un journal américaincontenant un extrait de sermon de Spurgeon.L'évangéliste étonné luiposa la question : 

    -Mais où avez-vous eu cejournal ? 
     -C'étaitl'emballage d'unpaquet que l'on m'aenvoyé d'Australie, répondit-elle.

     Quel chemin parcouru par cette feuille, d'AmériqueenAustralie, puis d'Australie en Angleterre ! Et elle accomplit le plande Dieu : atteindre l'âme qui était àsauver.

     

    Auteur inconnu

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique